D’autant que les journalistes s’exposent personnellement à des réactions virulentes dès qu’ils publient le fruit de leur travail sur les réseaux sociaux – pour preuve, la polémique créée par la chanteuse Yseult suite à la parution d’un papier dans Le Monde, et qui n’est que la face immergée de l’iceberg. Si les journalistes continuent de jouer le rôle de phare au milieu de la tempête, force est de constater les signes d’une méfiance croissante à l’égard des discours des entreprises.
Retrouvez la suite de cette tribune d’Emilie Molinier-Ravage, Directrice associée chez Maarc, sur Culture RP ici.